Lord Of The Rings Online: Erthad Einior
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 Marariel Ehtêòrêa

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AuteurMessage
Marariel Ehtéoréa

Marariel Ehtéoréa


Age : 36
Féminin Messages : 74
Métier : Etudiante en histoire

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MessageSujet: Marariel Ehtêòrêa   Marariel Ehtêòrêa EmptyLun 3 Jan - 8:45

Marariel pénétra dans la pièce commune de la maison de confrérie en claquant la porte derrière elle. Avec rage, elle envoya sa lance se figer dans une table au coin du mur. Elle n’en revenait pas qu’on ait pu lui voler sa cible avec autant de facilité. Malgré tout ce que lui avait appris sa sœur Auarawyn concernant la traque, elle avait été coiffée au poteau par un chasseur passant là par hasard. Elle jeta sa cape sur une chaise, et s’écroula de tout son poids. La tête entre les mains, elle se remémorait chaque instant de ce combat, surtout le moment ou elle préparait sa javeline et ou la flèche du chasseur avait abattu l’ours. Lorsqu’elle releva la tête, elle aperçu une pile de feuillets qui trainaient au coin de la table. Il s’agissait de la feuille d’inscription de la confrérie dont Taralynor lui avait parlé. Elle en saisit une, et débutta la lecture, une plume d’Endor à la main.

Vous

Prénom/Pseudo: Auralia/ Awara

Age: 22 ans

Expérience dans les MMORPG: Tant et tant qu’il est plutôt difficile de tout citer… Dofus/Wakfu, Aion, Guild Wars, Dream of Mirror, Kitsu Saga, Granado Espada,…

Passions/Hobbies: En formation d’historienne, je passe le plus clair de mon temps libre à participer à des reconstitutions historiques, voir fantastiques quand l’occasion se présente. Fan d’artisanat, je pratique de manière régulière la forge, le travail du cuir, du bois, du tissage et un peu de poterie. En dehors de cela, je suis une grande fan de relations sociales (vive les sorties entre amies) et le manga (tous genres). Le reste ne me vient pas à l’esprit, si ce n’est la Meuporg attitude ^^.

Alors que Marariel terminait de remplir le premier paragraphe, la porte de la maison de confrérie s’ouvrit viollement, laissant entrer un nain bougon qui, de rage, lança sa hache vers la même table que celle que venait d’entailler Marariel. La hache vola quelques mètres, et fendit en deux à la fois la lance de Marariel et la table. Alors qu’elle allait protester, Marariel reconnu le nain: il s’agissait de Thorinoren, son père adoptif. Elle se radouci quelque peu, et laissa échapper un petit rire. Thorinoren s’apercevant de sa présence, se confondit en excuses. Marariel soupira alors, pensant qu’elle allait encore devoir demander à sa sœur de lui refaire une lance. Elle en profita d’ailleurs pour tendre un formulaire à Thorinoren qui la rejoignit à la table. Avant qu’il ne se plonge dedans, elle lui dit: « Tu as eu une aussi mauvaise journée que moi je suppose? » Thorinoren se rembrunit, tira sa vieille pipe en terre de sa poche, l’alluma et dit: « ces gobelins de Goblinville m’ont encore fait tourner en bourique! Ils se sont amusés à redessiner les couloirs pendant que je tailladais un de leur lieutenant. Je ne te dis pas ma surprise de tomber dans un cul de sac là ou se trouvait précédemment la sortie. J’ai été obligé de me frayer un passage à coup de hache, et un coup de ma hache à malencontreusement trouvé sur son chemin l’épaule d’un Rohirim perdu comme moi! J’ai dû le trainer tout le reste du chemin de retour pour l’emmener à un soigneur à Duillond. A cause de cela, j’ai perdu beaucoup de temps, et j’ai sauté l’heure du repas! ». Marariel sourit, se disant que malgré la différence de race, elle tenait beaucoup plus de son père adoptif que de la race elfique. Elle se leva, pris un verre et une choppe dans une armoire, et remplit le second d’hydromel et le premier d’un vin issus d’un cépage de Célondim, et elle tendit la choppe à son père. Thorinoren prit le récipient fort volontiers, et ils trinquèrent tous deux pour exorciser leur mauvaise humeur. Ensuite, Marariel reprit son formulaire.

Votre Personnage

Nom: Ehtëòrëa, ( lance de l’aube)

Prénom: Marariel

Age: Née de parents elfiques il y a de cela quelques 17 ans, je suis cependant orpheline depuis l’âge de 3 ans, recueillie par Thorinoren.

Race: Je suis une elfe élevée par un père nain et en compagnie de sœurs humaines, elfes et hobbite… de quoi s’y perdre un peu.

Classe: Sentinelle!

Vocation: Peu bercée dans les métiers comme mes sœurs, je suis cependant exploratrice, comprenant les fonctions de prospecteur, bucheron et tailleur!

Le paragraphe suivant semblait un peu plus difficile à Marariel. Ayant été élevée avec la diversité de sa famille, il luis emblait assez difficile de savoir ce qui pouvait être grand ou pas,… Voulant demander conseil à son père, elle se ravisa au dernier moment. Son père les avait toujours considérées comme égales entre elle, et n’avait jamais voulu s’arrêter sur leur physique, et elle ne souhaitais pas le mettre dans l’embarras.

Portrait Physique: De taille assez petite pour une elfe, je suis mince et frêle en apparence. Mais ne vous détrompez pas, en tant que sentinelle, si ma carure me désaventage, mon œil voit juste, mon esprit analyse précisément et mon bras frappe droit! Je porte de longs cheveux noirs avec lesquels mon teint pale contraste fortement. Mes yeux saphirs viennent terminer le contraste d’un visage jeune qui n’a que peu subi les rigueurs de cette terre. Créatrice du Collilin (cape bleu pâle) de la confrérie, je porte ma création dans toute la terre du milieu, bien que le reste de mes vêtements soit changeant selon mon humeur.

Portrait psychologique:
Si la conception de « mi-elfe, mi-nain » peut paraitre aberrent en soi, elle s’applique pourtant parfaitement à ma psychologie. Je suis une elfe, et donc je suis en général calme, posée dans mes jugements, réfléchie et patiente, mais l’éducation qui m’a été donnée refait parfois surface lorsque je m’emporte face aux injustices de ce monde. Je parle quelques mots d’elfique grâce aux gens que j’ai rencontré, mais je connais les jurons nains les mieux sentis pour les situations de crise. Attachée à toute chose, minérale, végétale ou animale, je me sens autant à l’aise dans les sombres forêts que dans les mines les plus profondes. De plus, ma famille m’a appris à être ouverte aux autres, bonne hôte, et à avoir le sens de la fête. Mais ne vous y trompez pas, je sais être sérieuse lorsque le moment le nécessite. Enfin, et c’est probablement mon plus gros défaut, je suis sensible aux êtres de grand charisme, et telle une humaine, je me laisse parfois porter par la passion du cœur, et cela quelle que soit le sexe ou la race, ne m‘en veuillez pas. Très famille, j’aime me retrouver en bonne compagnie, et la solitude me pèse assez facilement. Par contre, j’ai une véritable aversion pour les conflits raciaux, ayant été élevée dans la plus totale amitié antre les race, et par un nain qui a voué sa vie à la protection des orphelins de guerre de toutes races.


Marariel relève la tête après ce long passage. Son verre était vide, et la fatigue des derniers jours se faisait ressentir. Instinctivement, elle porta la main à sa boucle d’oreille droite, cadeau que lui avaient offerts sa famille lors de son aniversaire. Elle ne savait pas expliquer pourquoi, mais à chaque fois qu’elle faisait cela, elle sentait le courage et la joie de vivre l’envahir. Elle se lança alors dans la dernière question. Cette dernière question se résumait en deux mots: « votre histoire ». Mais sous ces deux mots se cachaient bien des questions, auxquelles Marariel ne pouvait pour la plupart pas répondre, vu qu’elle-même en ignorait pas mal sur son passé. Bien entendu, elle savait bien des choses sur la vie qu’elle avait eue depuis que Thorinoren l’avait trouvé, mais qui avait-il avant? Elle avait reçu son nom de famille « Ehtëòrëa » de son mentor, mais elle ne savait rien de ses vrai parents, ou des circonstances de sa naissance. Repoussant sa mèche du bout des doigts derrière son oreille droite, elle chassa par ce geste ces questions qui allait devoir attendre, et se résolut à raconter ce qu’elle savait.

Votre Histoire:

Je suis née dans un lieu inconnu de parents elfique. Je suppose que jusqu’à l’âge de trois ans, ce sont eux qui m’ont élevé, mais il ne me reste aucun souvenir de cette époque, juste des impressions de déjà-vu. Je devais donc avoir environ trois an quand, selon mon père, un raid d’hommes du nord avait réduit la petite cité dans laquelle je vivais en cendre. Mon père adoptif, Thorinoren, faisait partie d’un corps envoyé là pour porter secours à notre peuple, et bien que d’autres cités furent sauvées grâce à eux, la mienne n’eut pas cette chance. Il semble que je soit l’une des deux seules survivantes, bien que le manque d’information me fait garder espoir de voir un jour l’un des miens qui aurait réussi à fuir le combat. A partir de là, j’ai été élevée avec mes deux plus grandes sœurs, Auarawyn, une humaine et Alyawen, seule autre enfant à avoir survécu au massacre de notre cité et de deux ans mon ainée. Les premiers temps furent difficiles, nous vivions en tente, suivant les déplacements du corps de notre père, élevées par la femme de Thorinoren et par les femmes des autres combattants. Très vite, notre groupe d’orphelin s’agrandit: Wivine nous rejoint peu de temps après, une jeune hobbite, suivie par Jainawyn, une autre humaine qui errait sur les chemins des monts brumeux à la recherche de nourriture. C’est d’ailleurs lors de l’attaque de Goblinville par le corps pour le sauvetage d’un groupe de nains emmenés en esclavage que notre mère adoptive et femme de Thorinoren perdu la vie, à cause d’une flèche empoisonnée perdue. Ce triste évènement amena Thorinoren à quitter le corps, et à aller vivre non loin du palais de Thorin. Mais le nain vieillissant et la dureté du climat nous obligeant, nous partîmes vers le sud à la recherche d’une terre plus clémente pour habiter. J’avais alors neuf ans. Alors que nous faisions route, nous vîmes un convoi attaqué par des nains poings-bourrus. Refusant de laisser dans le danger des êtres vivants, mon père et mes deux sœurs ainées prirent les armes pour aller les défendre. Mais ce qu’ils n’avaient pas prévu, c’est que deux poings bourrus nous avaient vu, et voulant profiter de l’absence de Thorinoren, tentèrent de nous emmener. Mais ma grande sœur Auarawyn avait commencé à m’apprendre le maniement de la lance, et de justesse, j’arrivai à sauver mes deux petites sœurs. Les gobelins repoussés, et voyant les corps des deux nains, mon père s’écroula en sanglot tant le risque qu’il avait pris avait été grand. Mais le convoi qu’il avait protégé était en fait une délégation elfique envoyée au palais de Thorin pour tenter une alliance entre elfes et nains contre les poings-bourrus, et mon père reçut en remerciement des risques qu’il avait pris un manoir dans le quartier elfique de Feallor, un quartier à l’abri des attaques dans lequel il pourrait nous élever en sécurité. L’une des sentinelles qui accompagnait la délégation elfique, Ecthelruin fut très impressionnée par le sauvetage de mes sœurs que j’avais accompli, et il me donna le surnom de « Ehtëòrëa », ce qui signifie en Quenya lance de l’aube, et il m’invita lorsque je serais plus âgée à le rejoindre pour débuter mon apprentissage en tant que sentinelle au service du peuple elfique. Mon père, peu cherchant à me rendre un peu de mes racines elfique, décida de faire de mon surnom mon nom de famille, en espérant qu’un jour il me ramène chez moi. J’ai donc grandi dans ce manoir elfique jusqu’à l’âge de seize ans, ou Ecthelruin m’a pris sous on aile pour m’apprendre le métier de sentinelle.

Marariel se laissa aller sur sa chaise. En levant la tête de sa feuille, elle vit que son père s’était endormi sur la table, renversant par la même occasion le reste de sa choppe d’hydromel sur sa feuille à moitié remplie. Elle se leva, prit sa cape et recouvrit le vieux nain, avant de retirer la feuille de dessous sa barbe et d’éponger la table. Elle se saisit alors de sa feuille, et se prépara à l’envoyer , quand elle se rendit compte qu’il y avait encore des questions de l’autre côté de la feuille. Elle se rassit et entrepris de remplir le reste du formulaire.

Ce que j’attend de la confrérie:

De la confrérie, j’attend une véritable fraternité, de manière à ce que la terre du milieu prenne un tout autre sens à mes yeux. De même, je souhaite que nous écrivions ensemble l’histoire de la confrérie pour qu’un jour nous entrions tous au panthéon!

Mot de la fin:
« An i cuil adavna i methed, dan i pâd Aretha i ôl »
« Afin que la vie ne soit plus une fin en soi, mais un moyen d’atteindre ses rêves »

Marariel déposa enfin sa plume sur la table. Elle pris la feuille d’inscription, et le déposa sur le pupitre réservé à cet effet. Ensuite, elle réveilla doucement son père, et tous deux repartirent pour leur maison.
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